Lecture de la semaine : Esa. 7:1-9, Esa. 7:10-13, Esa. 7:14
Sabbat
SAMEDI 9 JANVIER : Sabbat Après-Midi
Verset à mémoriser : « Si vous ne croyez pas, vous ne subsisterez pas » (Ésaïe 7:9, LSG). |
Un jour de sabbat, Connie et Roy se mirent en route après l’église. Une poule vola frénétiquement à travers la cour devant eux. Quelque chose n’allait pas. Les oiseaux domestiques étaient censés être en sécurité dans leur enclos, mais ils étaient sortis. Une enquête rapide a montré qu’une tragédie était en cours. Beethoven, le petit chien du voisin, s’était également échappé de sa cour et se trouvait au bord de l’étang avec Daisy dans sa bouche. Daisy était une belle poule pondeuse avec des plumes arrières blanches et pelucheuses. Connie a sauvé Daisy, mais c’était trop tard. Son précieux animal de compagnie, au cou mutilé, mourut bientôt dans les bras de Connie. Elle s’assit dans la cour, tenant l’oiseau mort, et pleurant.
Un autre animal de compagnie était profondément perturbé. Un grand canard blanc du nom de Waddlesworth vit Connie tenir Daisy dans ses bras et sembla croire qu’elle l’avait tuée. Ainsi, pendant les semaines suivantes, chaque fois que Waddlesworth voyait Connie, il l’attaquait violemment, la pinçant douloureusement avec son bec puissant. Il est parfois difficile de savoir qui sont vos amis et vos ennemis.
Cette semaine, nous nous pencherons sur un roi de Juda qui avait également ce problème, et nous chercherons à comprendre pourquoi il a fait les mauvais choix.
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 16 Janvier.
Dimanche
DIMANCHE 10 JANVIER : Danger en provenance du nord (Ésaïe 7:1-9)
À quelle crise terrifiante le roi Achaz a-t-il dû faire face au début de son règne? 2 Rois 15:37, 38; 2 Rois 16:5, 6; Ésaïe 7:1, 2.
Les royaumes du nord, Israël (Éphraïm) et la Syrie (Aram), ont fait alliance contre le petit pays de Juda, au sud. Cela s’est produit lorsque Juda a été affaibli par les attaques des Édomites et des Philistins. Dans le passé, Juda avait lutté contre Israël, mais une alliance entre Israël et la Syrie présentait un risque écrasant. Il semble qu’Israël et la Syrie voulaient forcer Juda à participer avec eux à une coalition contre le tout puissant Tiglath-Piléser III, d’Assyrie (appelé « Pul » dans 2 Rois 15:19), qui continuait à les menacer avec son empire en expansion. Israël et la Syrie avaient mis de côté leur lutte de longue date l’un contre l’autre en vue d’endiguer un danger commun plus grand. S’ils pouvaient conquérir Juda et y installer un souverain fantoche (Ésaïe 7:5, 6), ils pourraient utiliser ses ressources et sa main-d’oeuvre.
Quelle a été la solution d’Achaz lorsque son monde s’est effondré? 2 Rois 16:7-9, 2 Chron. 28:16.
Plutôt que de reconnaitre que Dieu était le seul ami qui pouvait le sauver, lui et son pays, Achaz a essayé de faire de Tiglath-Piléser III, l’ennemi de ses ennemis, un ami. Le roi assyrien a heureusement accédé à sa demande d’aide contre la Syrie et Israël. Non seulement Tiglath-Piléser a reçu un riche pot-de-vin de la part d’Achaz, mais il a également trouvé une bonne excuse pour s’emparer de la Syrie, ce qu’il a fait sans tarder (2 Rois 16:9). Le pouvoir de l’alliance Syro-Israélite fut brisé. À court terme, il est apparu qu’Achaz avait sauvé Juda.
Cette action de la part d’Achaz ne devrait cependant pas être une surprise. Il avait été l’un des pires rois ayant jamais gouverné Juda jusqu’à ce moment. (Voir 2 Rois 16:3, 4; 2 Chron. 28:2-4).
Quand on lit ce qu’était Achaz, on comprend pourquoi il a ainsi réagi au danger. Quelle leçon pouvons-nous en tirer sur le plan personnel? Si nous n’obéissons pas au Seigneur maintenant, qu’est-ce qui nous fait penser que nous aurons la foi de Lui faire confiance quand les vraies épreuves viendront? (Voir Jacques 2:22, Jer. 12:5). |
Lundi
LUNDI 11 JANVIER : Tentative d’interception (Esa. 7:3-9)
Alors qu’Achaz pesait ses options politiques pour répondre à la menace d’Israël et de la Syrie, Dieu savait certaines choses qu’il ignorait. Tout d’abord, c’était Dieu qui avait laissé les ennuis s’abattre sur lui afin de le discipliner et de le ramener à la raison (2 Chron. 28:5, 19). De plus, bien que rechercher l’aide de Tiglath-Piléser semblait logique et attrayant d’un point de vue humain, Dieu savait que cela mettrait le royaume davidique de Juda sous contrôle étranger dont il ne pourrait jamais se remettre.
Les enjeux étaient incroyablement élevés. Aussi, l’Éternel envoya Ésaïe intercepter le roi (apparemment alors qu’il inspectait l’approvisionnement en eau de Jérusalem en vue d’un siège) afin de le persuader de ne pas contacter le chef assyrien.
Pourquoi l’Éternel a-t-Il dit à Ésaïe d’emmener son fils, Schear-Jaschub, avec lui (Ésaïe 7:3)?
Achaz a été surpris lorsqu’Ésaïe l’a salué et lui a présenté son fils, appelé « Un reste reviendra ». Un reste de qui? Reviendra de quoi? Comme le père du garçon était un prophète, le nom du garçon ressemblait à un message de mauvais augure de Dieu sur les gens qui vont en captivité. Ou s’agissait-il d’un retour à Dieu dans le sens de la repentance (le verbe « revenir » a également le sens de la repentance)? Le message de Dieu à Achaz avait un double sens. Il a le sens que vous lui donnez! Repentez-vous de vos péchés ou allez en captivité, et de la captivité un reste reviendra. La décision est à vous!
Comment le message de Dieu a-t-il remédié à la situation du roi? Ésaïe 7:4-9.
La menace de la Syrie et d’Israël passerait et Juda serait épargné. Les puissances qui étaient pour Achaz comme d’énormes volcans enflammés n’étaient aux yeux de Dieu que « deux bouts de tisons fumants » (Ésaïe 7:4, LSG). Achaz n’avait pas besoin de faire appel à l’Assyrie pour obtenir de l’aide.
Mais pour prendre la bonne décision, Achaz devait faire confiance à l’Éternel et à Ses promesses. Il devait croire pour subsister (Ésaïe 7:9). Les mots pour « croire » et « subsister » sont de la même racine hébraïque, d’où proviennent également le mot qui est traduit par « vérité » (ce qui est fiable) et le mot « Amen » (affirmant ce qui est vrai ou fiable). Achaz devait être sûr pour être assuré; il devait se fier pour être fiable.
Regardez cette dernière section d’Ésaïe 7:9. Pourquoi la foi et la croyance sont-elles si importantes pour « subsister »? Subsister en quoi? Comment ce principe s’applique-t-il dans la vie du chrétien? |
Mardi
MARDI 12 JANVIER : Une autre chance (Ésaïe 7:10-13)
Achaz n’a pas répondu à l’appel de foi d’Ésaïe. Alors, Dieu donna une autre chance au roi, lui disant de demander un signe qui soit « dans les lieux bas, soit dans les lieux élevés » (Ésaïe 7:11, LSG). Voici l’une des plus grandes invitations à la foi jamais données à un être humain. Contrairement aux loteries ou aux annonces publicitaires qui imposent souvent des restrictions, Dieu a laissé libre choix au roi. Dieu n’a même pas limité Son offre à la moitié de Son royaume, comme le font souvent les souverains humains qui prennent des engagements à la limite maximale de leur générosité (voir Esther 5:6, Esther 7:2, Marc 6:23). Il était prêt et disposé à vider tout le ciel et la terre pour un roi méchant si et seulement s’il voulait bien croire! Comme signe, Achaz aurait pu demander une montagne d’or ou des soldats aussi nombreux que des grains de sable au bord de la Méditerranée.
Pourquoi Achaz a-t-il réagi ainsi (Ésaïe 7:12)?
À première vue, la réponse d’Achaz semble pieuse et respectueuse. Il ne voulait pas mettre Dieu à l’épreuve, comme les Israélites l’avaient fait des siècles auparavant, lors de leurs pérégrinations dans le désert (Exode 17:2, Deut. 6:16). Mais la différence est que Dieu a invité le roi à Le mettre à l’épreuve (voir Mal. 3:10). Accepter Son don extrêmement généreux Lui ferait plaisir, et ne mettrait pas Sa patience à l’épreuve. Mais Achaz n’était même pas prêt à permettre à Dieu de l’aider à croire. Il a barré et verrouillé la porte de son coeur pour exclure la foi.
Lisez Ésaïe 7:13. Que dit Ésaïe ici?
Ésaïe a fait remarquer qu’en refusant de mettre Dieu à l’épreuve, en apparence pour éviter de lasser Dieu, Achaz, en fait, a lassé Dieu. Mais l’aspect le plus troublant de ce verset est le fait qu’ici, Ésaïe fait référence à « mon Dieu », en contraste flagrant avec Ésaïe 7:11, où le prophète demande au roi de demander un signe à l’Éternel « ton Dieu ». Quand Achaz a refusé l’offre divine, il a rejeté le Seigneur comme étant son Dieu. Le Seigneur était le Dieu d’Ésaïe, mais pas d’Achaz.
Que nous apprend la leçon de ce jour sur la tolérance et la volonté de Dieu de nous amener tous au salut? Qu’est-ce qu’elle nous apprend également sur la cécité et la dureté du coeur humain lorsqu’il ne s’abandonne pas complètement au Seigneur? En fin de compte, même si Dieu avait donné à Achaz un signe qu’il avait voulu, pensez-vous qu’Achaz aurait alors cru? Expliquez votre réponse. |
Mercredi
MERCREDI 13 JANVIER : Signe d’un fils (Ésaïe 7:14)
L’offre d’un signe « soit dans les lieux bas, soit dans les lieux élevés » (Ésaïe 7:11, LSG) n’a pas ému Achaz. Ainsi, lorsque Dieu dit qu’Il trouvera Lui-même un signe (Ésaïe 7:14), nous nous attendons à ce qu’il ait des dimensions à couper le souffle que seule l’imagination divine pourrait concevoir (voir Ésaïe 55:9, 1 Cor. 2:9). Surprise! Le signe est un fils. Mais comment le fait qu’une jeune femme porte un enfant et l’appelle « Emmanuel » peut-il être un signe de proportions bibliques?
Qui est la femme, et qui est son Enfant?
Nulle part l’Ancien Testament n’indique l’accomplissement de ce signe important, comme il l’avait fait pour les signes donnés à d’autres personnes, comme Gédéon (Juges 6:36-40). Voici donc quelques-uns des accomplissements possibles, basés sur l’Ancien Testament seul:
1. Comme le mot « jeune femme » désigne une jeune femme en âge de se marier, beaucoup pensent qu’il s’agit d’une femme mariée vivant à Jérusalem, peut-être l’épouse d’Ésaïe. Ésaïe 8:3 fait état de la naissance d’un fils à Ésaïe par « la prophétesse » (en référence à sa femme, dont les messages prophétiques consistaient, au moins, en ses enfants; voir Ésaïe 7:3, Ésaïe 8:18). Cependant, ce fils s’appelait Maher-Schalal-Chasch-Baz (Ésaïe 8:1-4), et non Emmanuel. Néanmoins, les signes des deux garçons sont similaires en ce sens qu’avant qu’ils n’atteignent le stade précoce où ils peuvent choisir le bien ou le mal, la Syrie et le nord d’Israël seraient dévastés (Ésaïe 7:16, Ésaïe 8:4).
2. Certains suggèrent qu’Emmanuel est Ézéchias, fils d’Achaz, qui est devenu le prochain roi. Mais nulle part le nom d’Emmanuel ne lui est appliqué.
3. Parce qu’Emmanuel est quelque peu mystérieux et que son nom, communément traduit par « Dieu avec nous », fait référence à la présence de Dieu, Il pourrait être le même que le Fils spécial prophétisé dans Ésaïe 9 et 11. Si c’est le cas, sa description exaltée comme étant divin (Ésaïe 9:6) et « la racine d’Isaï » (Ésaïe 11:10, DRB) surpasse tout ce qui pourrait être attribué même au bon roi Ézéchias.
4. Une naissance naturelle d’une femme non mariée en âge de se marier donnerait lieu à un enfant illégitime par le biais de la promiscuité (voir Deut. 22:20, 21). Pourquoi Dieu se réfèrerait-Il à un tel enfant comme un signe pour inspirer la foi?
En revanche, le Nouveau Testament identifie Jésus comme Emmanuel (Matt. 1:21-23), né miraculeusement et avec pureté d’une vierge non mariée mais fiancée. Jésus est aussi le Fils divin (Ésaïe 9:6, Matt. 3:17) et le « rameau » et « rejeton » d’Isaï (Ésaïe 11:1, 10; Apo. 22:16). Peut-être un ancien « Emmanuel », dont le développement a prouvé à Achaz l’exactitude des accomplissements prophétiques, a servi de précurseur au Christ. Nous ne le savons pas. Mais nous savons ce que nous devons savoir: « mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme » (Gal. 4: 4, LSG), pour nous donner la présence de Dieu avec nous..
Attardez-vous sur la réalité de la venue de Christ dans l’humanité. Quel genre de consolation cette réalité peut-elle nous apporter dans ce qui semble être un monde froid, effrayant et indifférent? |
Jeudi
JEUDI 14 JANVIER : « Dieu est avec nous »! (Ésaïe 7:14)
Comme le nom des enfants d’Ésaïe (Schear-Jaschub, « un reste reviendra », et Maher-Schalal-Chasch-Baz, qui signifie « rapide est le butin, rapide est la proie »), le nom d’Emmanuel a une signification. C’est littéralement « avec nous, Dieu ». Mais la traduction communément acceptée « Dieu avec nous » manque quelque chose d’important. Comme pour les autres noms hébreux de ce type qui manquent de verbes, le verbe « être » doit être ajouté, car il n’est pas exprimé en hébreu. Ainsi, Emmanuel doit être traduit par « Dieu est avec nous » (voir les mêmes mots dans Ésaïe 8:10), tout comme le nom « Jésus » (grec, et abréviation hébraïque de Yehoshua, ou Josué) signifie « Le Seigneur est le salut », le verbe étant à nouveau ajouté (voir Ésaïe, qui signifie, « le salut de l’Éternel »).
Mais le nom « Emmanuel » n’est pas seulement une description abstraite, c’est l’affirmation d’une promesse qui s’accomplit maintenant: « Dieu est avec nous »!
Quelle est la signification de la promesse que Dieu est avec nous?
Il n’y a pas de plus grande assurance et de plus grande consolation. Dieu ne promet pas que Son peuple n’endurera pas d’épreuves et de souffrances, mais Il promet d’être avec lui. Le psalmiste dit: « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent » (Ps. 23:4, LSG).
Dieu dit: « Si tu traverses les eaux, Je serai avec toi; et les fleuves, ils ne te submergeront point; si tu marches dans le feu, tu ne te bruleras pas, et la flamme ne t’embrasera pas » (Ésaïe 43:2).
Où était le Seigneur quand les Babyloniens ont jeté au feu les trois amis de Daniel? Dieu était avec eux (Dan. 3:23-25). Et où était le Seigneur au temps de détresse de Jacob, lorsqu’il luttait jusqu’au lever du jour? Dans les bras de Jacob, aussi près qu’il pouvait l’être (Gen. 32:24-30).
Même lorsque le Seigneur n’apparait pas sous une forme physique sur terre, Il passe par les expériences de Son peuple à ses côtés. Où était le Seigneur quand la foule condamnait Étienne avec véhémence? Il se tenait à la droite de Dieu » (Actes 7:55). Mais lorsque Jésus est monté au ciel, Il « s’assit à la droite de la majesté divine dans les lieux très haut » (Heb. 1:3). Pourquoi s’est-Il tenu debout alors qu’Étienne était en difficulté, sur le point d’être lapidé? Comme l’a dit Morris Venden: « Jésus n’était pas près à s’assoir! » (traduit de Roy Gane, God’s Faulty Heroes, Hagerstown, Md.: Review and Herald Pub. Assn., 1996, p. 66).
Même si nous avons la promesse que « Dieu est avec nous », quelle différence cela fait-il si nous sommes encore confrontés à de terribles épreuves et souffrances? Quel bien la connaissance de Sa présence peut-elle donc nous apporter? Expliquez votre réponse. |
Vendredi
VENDREDI 15 JANVIER : Réflexion avancée...
« On Lui donnera le nom d’Emmanuel: ... Dieu avec nous. La lumière de ‘‘la connaissance de la gloire de Dieu’’ resplendit ‘‘sur la face de Christ’’. Dès les jours de l’éternité, le Seigneur Jésus-Christ était un avec le Père; il était ‘‘l’image de Dieu’’, l’image de Sa grandeur et de Sa majesté, ‘‘le rayonnement de Sa gloire’’. C’est pour manifester cette gloire qu’Il est venu en ce monde. Sur une terre obscurcie par le péché Il est venu révéler la lumière de l’amour de Dieu; Il est ‘‘Dieu avec nous’’. C’est pourquoi la prophétie avait annoncé: ‘‘On Lui donnera le nom d’Emmanuel’’ ». – Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 8.
« Tout se serait bien passé pour le royaume de Juda si Achaz avait accepté ce message comme venant du ciel. Mais il préféra s’appuyer ‘‘sur le bras de la chair’’, et il rechercha la protection des païens. Désespéré, il envoya des messagers à Tiglath-Piléser, pour lui dire: ‘‘Je suis ton serviteur et ton fils; monte, et délivre-moi de la main du roi de Syrie et de la main du roi d’Israël, qui s’élèvent contre moi’’ (2 Rois 16:7) Et Achaz accompagna sa requête d’un riche présent provenant du trésor de la maison royale et du temple ». – Ellen G. White, Prophètes et rois, p. 452, 453.
À méditer : Résumé : Dieu a amené le roi infidèle Achaz dans des circonstances où il a dû prendre une décision difficile: croire ou ne pas croire, telle est la question. Même si le Seigneur lui a offert tout signe que son imagination pouvait concevoir, il a refusé de permettre à Dieu de lui démontrer une raison de croire. Il a plutôt choisi comme « ami » le roi d’Assyrie. |
► Compléments d’Ellen G. White aux leçons de l’école du sabbat
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